Que pèse un scoop face à la vie d’un enfant ? Rien du tout, évidemment. Dès que notre journaliste Pryska Ducœurjoly m’a parlé il y a quelques jours du très probable scandale sanitaire Beyfortus, qu’elle venait de découvrir, j’ai donc décidé que son enquête serait publiée sans délai et gratuitement ici avant d’être imprimée dans notre mensuel payant. Si nous pouvons sauver ne fût-ce qu’un bébé en lançant cette alerte immédiate, nous aurons noblement rempli notre mission d’information sans la monnayer. Beyfortus ? C’est le médicament contre la bronchiolite développé par les laboratoires Sanofi Pasteur et AstraZeneca et que l’EMA (Agence Européenne du Médicament) a autorisé voici un peu plus d’un an. Cet anticorps monoclonal est censé prémunir les nouveau-nés du virus respiratoire syncytial (VRS), ou à tout le moins les protéger d’une forme grave de cette infection hivernale. La preuve de cette protection n’est nullement établie, le rapport bénéfice/risque est loin d’être certain, mais les autorités de santé ont à nouveau accordé leur feu vert sans attendre le résultat d’études cliniques approfondies. Aussi incroyable que cela paraisse, l’antiviral est aujourd’hui massivement administré aux nourrissons dans les maternités de France, de Belgique et d’ailleurs. Et ce dans les heures qui suivent la naissance ! Non seulement le produit est injecté très précocement sans le consentement éclairé des parents, mais selon des rumeurs qui circulent, on ne demanderait même pas leur avis avant de piquer les tout-petits ! Ce ne serait pas dramatique si le « traitement préventif » était effectivement efficace et sans danger. Or il y a tout lieu de craindre qu’il n’en soit pas ainsi et que le nirsévimab – nom scientifique du Beyfortus – soit en réalité un remède pire que le mal. Selon la biologiste Hélène Banoun qui a examiné la documentation médicale et selon la statisticienne Christine Mackoi qui a analysé les données récentes de mortalité périnatale, on peut en effet redouter que le médicament soit lié à une hausse anormale et inquiétante des décès de bambins. Dans l’article que vous allez lire, Pryska apporte les éléments indiquant qu’il y a clairement un problème avec le Beyfortus et qu’il faudrait d’urgence arrêter la campagne d’inoculations. Cet appel sera-t-il entendu ? Vu l’influence de l’industrie pharmaceutique et la corruption systémique dont la fausse pandémie covidienne a révélé l’ampleur, on ne va pas se bercer d’illusions. Comme il fallait s’y attendre, l’Agence Française de Propagande s’est déjà jetée sur la bombe pour la désamorcer et enclencher l’omerta médiatique. Néanmoins, on peut espérer que l’alerte lancée par
Beyfortus : alerte rouge !
Beyfortus : alerte rouge !
Beyfortus : alerte rouge !
Que pèse un scoop face à la vie d’un enfant ? Rien du tout, évidemment. Dès que notre journaliste Pryska Ducœurjoly m’a parlé il y a quelques jours du très probable scandale sanitaire Beyfortus, qu’elle venait de découvrir, j’ai donc décidé que son enquête serait publiée sans délai et gratuitement ici avant d’être imprimée dans notre mensuel payant. Si nous pouvons sauver ne fût-ce qu’un bébé en lançant cette alerte immédiate, nous aurons noblement rempli notre mission d’information sans la monnayer. Beyfortus ? C’est le médicament contre la bronchiolite développé par les laboratoires Sanofi Pasteur et AstraZeneca et que l’EMA (Agence Européenne du Médicament) a autorisé voici un peu plus d’un an. Cet anticorps monoclonal est censé prémunir les nouveau-nés du virus respiratoire syncytial (VRS), ou à tout le moins les protéger d’une forme grave de cette infection hivernale. La preuve de cette protection n’est nullement établie, le rapport bénéfice/risque est loin d’être certain, mais les autorités de santé ont à nouveau accordé leur feu vert sans attendre le résultat d’études cliniques approfondies. Aussi incroyable que cela paraisse, l’antiviral est aujourd’hui massivement administré aux nourrissons dans les maternités de France, de Belgique et d’ailleurs. Et ce dans les heures qui suivent la naissance ! Non seulement le produit est injecté très précocement sans le consentement éclairé des parents, mais selon des rumeurs qui circulent, on ne demanderait même pas leur avis avant de piquer les tout-petits ! Ce ne serait pas dramatique si le « traitement préventif » était effectivement efficace et sans danger. Or il y a tout lieu de craindre qu’il n’en soit pas ainsi et que le nirsévimab – nom scientifique du Beyfortus – soit en réalité un remède pire que le mal. Selon la biologiste Hélène Banoun qui a examiné la documentation médicale et selon la statisticienne Christine Mackoi qui a analysé les données récentes de mortalité périnatale, on peut en effet redouter que le médicament soit lié à une hausse anormale et inquiétante des décès de bambins. Dans l’article que vous allez lire, Pryska apporte les éléments indiquant qu’il y a clairement un problème avec le Beyfortus et qu’il faudrait d’urgence arrêter la campagne d’inoculations. Cet appel sera-t-il entendu ? Vu l’influence de l’industrie pharmaceutique et la corruption systémique dont la fausse pandémie covidienne a révélé l’ampleur, on ne va pas se bercer d’illusions. Comme il fallait s’y attendre, l’Agence Française de Propagande s’est déjà jetée sur la bombe pour la désamorcer et enclencher l’omerta médiatique. Néanmoins, on peut espérer que l’alerte lancée par