La presse subsidiée étant tombée dans le panneau, vous l’avez peut-être appris par les journaux : le prestigieux British Medical Journal, revue scientifique « à comité de lecture » réputée très sérieuse, vient de publier une étude concluant que le « vaccin » anti-covid serait efficace contre le covid long. Pour ses auteurs, cette protection viendrait ainsi confirmer l’efficacité des injections expérimentales pour prévenir la maladie, qu’elle soit brève ou prolongée. Victoire pour la vaccinologie et la technologie à ARN messager ? Il est évidemment permis d’en douter et de suspecter que la recherche soit copieusement biaisée. Mais comme je ne suis guère qualifié pour l’analyser, j’ai demandé à notre nouveau collaborateur Pierre Chaillot de se pencher dessus. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que je ne suis pas déçu par son décryptage du BMJ : il y a trouvé nombre d’erreurs statistiques flagrantes, de manipulations de chiffres grossières et de biais d’interprétation manifestes qui ramènent le travail à un fatras de postulats dénués de preuves. En résumé, Pierre estime que cette étude est « du grand n’importe quoi » et qu’elle n’a pas grand chose à voir avec la science. La principale arnaque de ce papier indigne est qu’il fait passer des vaccinés pour des non-vaccinés, ce qui suffit déjà à ruiner les conclusions. Vu que la revue
Déconstruction d'une étude bidon
Déconstruction d'une étude bidon
Déconstruction d'une étude bidon
La presse subsidiée étant tombée dans le panneau, vous l’avez peut-être appris par les journaux : le prestigieux British Medical Journal, revue scientifique « à comité de lecture » réputée très sérieuse, vient de publier une étude concluant que le « vaccin » anti-covid serait efficace contre le covid long. Pour ses auteurs, cette protection viendrait ainsi confirmer l’efficacité des injections expérimentales pour prévenir la maladie, qu’elle soit brève ou prolongée. Victoire pour la vaccinologie et la technologie à ARN messager ? Il est évidemment permis d’en douter et de suspecter que la recherche soit copieusement biaisée. Mais comme je ne suis guère qualifié pour l’analyser, j’ai demandé à notre nouveau collaborateur Pierre Chaillot de se pencher dessus. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que je ne suis pas déçu par son décryptage du BMJ : il y a trouvé nombre d’erreurs statistiques flagrantes, de manipulations de chiffres grossières et de biais d’interprétation manifestes qui ramènent le travail à un fatras de postulats dénués de preuves. En résumé, Pierre estime que cette étude est « du grand n’importe quoi » et qu’elle n’a pas grand chose à voir avec la science. La principale arnaque de ce papier indigne est qu’il fait passer des vaccinés pour des non-vaccinés, ce qui suffit déjà à ruiner les conclusions. Vu que la revue