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Sortir du carcan de la sclérose en plaques
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Sortir du carcan de la sclérose en plaques

Un article écrit par Jean-Jacques Crèvecoeur de la rubrique Sentier de santé - 14

Le mois dernier, je vous proposais une compréhension plus approfondie du sens biologique de la sclérose en plaques (SEP) en me fondant sur l’énoncé de la cinquième loi de la Médecine Nouvelle de Hamer, loi qu’il appelle lui-même « la loi de quintessence ».

Cette loi affirme que « toute maladie est un programme biologique bien fondé de la nature pour assurer la survie en situation d’urgence ». Nous avions vu qu’en général, une sclérose en plaques pouvait se résumer par cet ensemble de phrases :
• Je ne vis pas vraiment la vie que je voudrais (ou que je devrais) vivre ;
• Si malgré tout, je ne sors pas de cette situation, c’est parce que le seul moyen que j’envisage pour en sortir me ferait tomber encore plus bas dans une situation pire encore ;
• Entre deux maux, j’ai choisi le moindre (la situation que je vis présentement) ;
• Ma paralysie liée à la SEP m’apporte la meilleure solution bien fondée pour chacun de ces maux : d’une part, ce n’est pas de ma faute si je ne sors pas de cette vie qui ne me convient pas (puisque j’en suis incapable physiquement) – d’autre part, en étant paralysé, je suis certain À VIE de ne pas poser le geste qui me ferait tomber encore plus bas dans la déchéance.

Un an après avoir reçu les confidences de sœur Marie-Bernadette sur le sens de sa SEP, je suis au Québec, en train d’animer mon atelier thérapeutique « Les sentiers de la guérison ». Nous sommes en mars 2004 et je mets la dernière main à la rédaction de mon livre « Prenez soin de vous, n’attendez pas que les autres le fassent ! » Parmi les soixante participants à mon atelier, deux femmes se présentent à moi, toutes les deux atteintes de la SEP : Josette et Sylviane. Sylviane est diagnostiquée depuis neuf ans déjà et marche avec beaucoup de difficulté. Josette, quant à elle, marche avec une canne et recourt à une chaise roulante pour des déplacements plus longs. Elle, ça fait douze ans qu’elle est diagnostiquée. À la fin de mon atelier, toutes les deux présentent des signes incontestables de guérison de leur paralysie. Sylviane dansait le rock & roll sur une musique de Roch Voisine à la clôture de ces quatre jours intenses en émotions et en expériences… C’est après le séminaire que j’ai revu Sylviane pour essayer de comprendre pourquoi et comment elle s’était guérie (à mon insu) de sa SEP …(1)

La genèse de la maladie : surtout ne pas créer de scandale !

À l’âge de six ans, Sylviane joue innocemment avec son grand frère, de cinq ans plus âgé. Régulièrement, ils s’amusent tous les deux dans le salon à se pincer, à se chatouiller. Jusqu’à ce que leurs jeux prennent une connotation étrange. De plus en plus souvent, son frère se couche sur elle, derrière le sofa du salon. Pour l’empêcher de se débattre, il bloque les bras de sa petite sœur sous lui, tout en lui caressant sa poitrine de petite fille. Pour l’empêcher de crier, il lui applique fermement la main sur la bouche et essaie de l’embrasser. C’est ainsi que pendant plus d’un an, elle subit le harcèlement de son grand frère dans une posture d’impuissance totale, doublée d’une culpabilité confuse qu’elle ne comprend pas…

Article complet ici.

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